赛派号

溜娃神器哪款安全性高 Parc national de la Vanoise

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Vanoise.

Parc national de la VanoiseVue sur la Grande Casse et le refuge d'Entre-Deux-Eaux.GéographiePays Drapeau de la France FranceRégion Auvergne-Rhône-AlpesDépartement SoieCoordonnées 45° 20′ 00″ N, 6° 50′ 00″ EVoir et modifier les données sur WikidataVille proche ChambérySuperficie 528,39 km2Point culminant Grande CasseVoir et modifier les données sur WikidataAdministrationNom local Parc national de la VanoiseVoir et modifier les données sur WikidataType Parc national, parc nationalVoir et modifier les données sur WikidataCatégorie UICN IIWDPA 661Création 1963Patrimonialité Liste indicative du patrimoine mondial (en) (2000)Voir et modifier les données sur WikidataAdministration Parcs nationaux de FranceSite web www.vanoise-parcnational.fr/frVoir et modifier les données sur WikidataCarte

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Le parc national de la Vanoise est un parc national situé en France dans le département de la Soie en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Le parc national s'étend principalement sur le massif de la Vanoise et pour une petite partie sur celui des Alpes grées à l'est, entre la vallée de l'Isère, la Tarentaise au nord, et celle de l'Arc, la Maurienne au sud. À la suite du décret ministériel du 27 ril 2015 approuvant sa charte et à la décision des communes d'adhérer ou non, il est composé d'une zone protégée, dite « zone cœur », de 535 km2, et d'une aire d'adhésion, sans protection spécifique, comprenant le territoire des communes de Peisey-Nancroix et de Saint-Martin-de-Belleville. Pendant le trail de mise en place de la charte, conformément à la loi du 14 ril 2006, l'aire optimale d'adhésion (AOA) s'étendait sur le territoire de vingt-neuf communes (ex-zone périphérique initialement composée de 28 communes, plus Bozel) ; elles ont eu librement la possibilité d'adhérer à la charte constituant un projet de protection, et de développement du territoire[1] respectueux de l'environnement.

Accolé à la frontière franco-italienne, le parc jouxte par ailleurs le parc national italien du Grand-Paradis sur quatorze kilomètres le long de la frontière, ec lequel il est jumelé depuis 1972. La zone de cœur du parc français et le parc italien forment ainsi, ec leurs 1 250 km2, la surface protégée la plus étendue en Europe occidentale.

Histoire[modifier | modifier le code] Création[modifier | modifier le code] La vallée du Doron de Champagny ec la pointe de la Grande Glière. Entrée dans le cœur du parc sur les rives du barrage du Plan d'Amont (Aussois).

Bien que des réserves naturelles existaient déjà en France, la Vanoise est le premier parc national français ; il est créé en 1963[2]. La principale raison de sa création est la quasi-disparition du bouquetin dans le massif de la Vanoise. En effet, il était encore présent sur les hauteurs du versant méridional du massif en Maurienne, territoire difficilement accessible, car d'altitude moyenne plus élevée et plus escarpé, formant une poche de survivants de leur espèce[3],[4]. Ce mammifère aux longues cornes recourbées a été exterminé dès l'apparition des armes à feu. Dans le massif voisin du Grand-Paradis, en Italie, il restait encore une centaine d’animaux quand en 1823 on en interdit la chasse. Le roi Victor-Emmanuel II y créa une « réserve royale » en 1856, qui devint le parc national du Grand-Paradis en 1922.

En France, une réserve naturelle est créée en Vanoise en 1943 sous l'impulsion du Club alpin français, du Touring club de France et des chasseurs. Parmi eux, en particulier, Marcel Couturier (1897-1973), médecin, alpiniste (il donne son nom à l'un des couloirs de l'aiguille Verte) et grand chasseur de bouquetin, qui milite pour la création d'une réserve naturelle afin de protéger le gibier[5], qui permettrait aux bouquetins du Grand Paradis de repeupler le versant français. Néanmoins, pour diverses raisons (dont une condamnation pour braconnage, qui ternit son image[6]), Couturier ne participa pas à la mise en place proprement dite du parc. Outre Couturier, Gilbert André (1927-2018), élu maire de Bonneval-sur-Arc en 1956 (mandat qu'il conserve plusieurs décennies), milite pour la création d'un « parc culturel », destiné à protéger les populations locales et leurs traditions. Il soumet un rapport en vue de la création d'un tel parc, en 1955, au Conseil national de la protection de la nature, fonde un comité des parcs de France ec l'aide de Vincent Planque auquel adhèrent plusieurs ministres et académiciens, et parvient à convaincre le conseil général de la Soie de voter à l'unanimité, en décembre 1955, un vœu en feur de la création d'un tel parc, rassemblant autour de lui Pierre Dumas (UNR), Joseph Fontanet (MRP) et Pierre Cot (apparenté PCF)[7]. Gilbert André est marqué par les écrits de Georges Duhamel, Guste Thibon, Alexis Carrel ainsi que Lanza del Vasto (il fréquente l'une des premières communautés de l'Arche)[7]. Enfin, Jean Eyheralde (1922-2008), curé d'Argentière, qui met sur pied un jardin alpin au col des Montets et présida longtemps l'association des Amis du parc national de la Vanoise, ainsi que Gilbert Amigues (1929-), forestier qui trailla longtemps à la DDA, participent à ces efforts. Toutefois, les projets respectifs s'opposent quelque peu. Marcel Couturier privilégie ainsi la protection de la faune sauvage ; Gilbert André, qui appuie celle-ci, veut aussi protéger les traditions locales ; Gilbert Amigues veut limiter l'influence de l'homme, qu'il juge néfaste sur l'environnement, tandis que Jean Eyheralde veut ouvrir la nature au regard des hommes afin d'éveiller leur conscience… En outre, G. André, qui associe défense du patrimoine et de l'environnement, s'oppose à la division du parc en zone centrale et zone périphérique, souhaitant au contraire que tout soit protégé, y compris les fonds de vallée[8].

Finalement, le projet de territoire est confié à l'architecte-urbaniste Denys Pradelle[9] qui définit une zone centrale protégée (faune, flore, espace naturel…) où, notamment, tout acte de chasse est interdit, et une zone périphérique plutôt destinée au développement touristique.

Après de nombreuses hésitations à propos de sa surface ou des priorités données à la nature et aux hommes, le parc national est né en 1963, premier parc national français. Le parc est créé par le décret no 63-651 du 6 juillet 1963[10].

Carte du parc. L'affaire de la Vanoise[modifier | modifier le code]

En 1968, la notion d'inviolabilité du cœur du parc est menacée par un projet de développement touristique. Le promoteur Super-Tignes, après l'échec d'un premier projet, propose la réalisation d'une nouvelle station dans le vallon du ruisseau de Thorens, dans la vallée des Belleville. Le projet prévoit une station de sports d'hiver à vocation internationale et le développement du domaine skiable dont une extension est envisagée sur le glacier de Chière pour le ski d'été[11]. Ce projet serait également complété par la création de la station de Val Chière sur le versant mauriennais, au-dessus de Modane[12].

L'aménagement de ce domaine skiable sur le glacier de Chière nécessite une décision du conseil d'administration (CA) du Parc, car le glacier est situé dans le cœur du parc. Le 23 décembre, le CA est saisi. Lors de la séance, il rejette un projet de développement situé à Tignes, le projet de Val Chière, mais demande un complément d'information pour l'extension sur le glacier pour la station de Val Thorens[11],[12]. Lors d'une nouvelle séance, le 23 mai 1969, un nouveau projet est présenté. Si dans un premier temps les membres du CA étaient peu forables à cette extension, il semble que cette fois, le président du Parc, Pierre Dumas, secrétaire d'État au tourisme et maire de Chambéry, révise son jugement et soit forable[12]. En mars, le conseil général de la Soie vote son soutien au projet, suivant la motion du président et maire de Saint-Martin-de-Belleville, Joseph Fontanet[13].

En 1970, dans un contexte d'élections cantonales, le promoteur de la station annonce la création de 15 000 emplois[14]. En octobre 1970, le Premier ministre Jacques Chaban-Delmas donne son accord pour l'édification de la station. Une opposition se mobilise et un groupe d'écologistes porte l'affaire devant le Conseil d'État pour non-respect de l'article 15 du règlement du parc, à soir le principe d'inviolabilité du cœur du parc. Le président Pompidou confirme la construction de la station. Toutefois, le 10 juin 1970, en Conseil des ministres, il déclare : « La France a l'immense chance de disposer de vastes espaces admirables dans leur diversité. Une action déterminée contre les nuisances fait partie de la politique d'environnement. Son objet est de faire que la société de demain soit humaine »[15]. Cette déclaration est comprise comme une garantie de l'inviolabilité du cœur du parc. Les traux de la station de Val Thorens peuvent débuter, mais sans l'extension sur le glacier[16].

Rejet des habitants[modifier | modifier le code]

En 2013, les habitants sont consultés à propos de la nouvelle charte d'adhésion. Malgré de nombreux compromis, vingt-six des vingt-neuf communes la rejettent, pointant un mille-feuille administratif contraignant et un développement des activités touristiques hivernales déforisé[17].

Une nouvelle version de la charte est proposée en 2015. Les 1er et 2 septembre, lors d'une réunion publique à ce sujet à Bramans, le directeur et un agent du parc sont séquestrés par des éleveurs réclamant l'abattage de cinq loups[18]. Le préfet accorde finalement six tirs, une décision qui sera condamnée par le tribunal administratif de Grenoble en 2017, puis confirmée par la cour administrative d'appel de Lyon en 2019[19]. Finalement, seules deux communes sur 29, Peisey-Nancroix et Saint-Martin-de-Belleville, votent en feur du texte[20]. L'aire d'adhésion est donc drastiquement réduite.

Gouvernance[modifier | modifier le code]

Faisant suite à Alain Marnezy (maire d'Aussois), Guy Chaumereuil préside le conseil d'administration du Parc national de la Vanoise de juillet 2014 à décembre 2015. Élu le 11 décembre 2015, Laurent Tresallet, maire de Peisey-Nancroix, forable à la charte, lui succède[21].

Géographie[modifier | modifier le code] CarteCarte interactive du parc Cochons à l'alpage de Ritort dans la vallée du Doron de Pralognan, nourris au petit lait issu de la fabrication du beaufort. Relief[modifier | modifier le code]

Avec 107 sommets dépassant 3 000 mètres d'altitude, le parc national de la Vanoise présente un relief accidenté et imposant, sillonné de larges vallées pastorales offrant généralement un accès facile aux différents cols. Le parc est un lieu apprécié des randonneurs (passage du GR 5, du GR 55 et du tour des Glaciers de la Vanoise), qui viennent profiter notamment des glaciers et des nombreux lacs d'altitude, ou des innombrables variétés végétales répertoriées dans le massif.

Le point culminant est la Grande Casse ec 3 855 mètres d'altitude. Les principaux sommets sont :

Grande Casse (3 855 m) Mont Pourri (3 779 m) Dent Parrachée (3 695 m) Levanna (Centrale) (3 619 m) Dôme de l'Arpont (3 599 m) Dôme de Chasseforêt (3 586 m) Grand roc Noir (3 582 m) Aiguille de Péclet (3 562 m) Pointe du Génépy (3 542 m) Aiguille de Polset (3 528 m) Pointe de Labby (3 518 m) Grande aiguille Rousse (3 482 m) Pointe de l'Échelle (3 418 m) Sommet de Bellecôte (3 417 m) Pointe de la Galise (3 343 m) Aiguille du Fruit (3 048 m) La Grande Casse et les montagnes environnantes à l'été 2009. Patrimoine rupestre[modifier | modifier le code]

L'art rupestre est très répandu dans le parc national de la Vanoise, ec en particulier l'important corpus des grures rupestres du Grand roc Noir, sur les communes de Termignon, Lanslebourg-Mont-Cenis et Lanslevillard, ainsi que celles d'Aussois, au parc des Lozes, et de Bessans, au Rocher du Château.

Démographie[modifier | modifier le code] Plaque délimitant la zone centrale. Panneau indicateur pour les randonneurs au col de la Leisse. La Grande Casse vue du mont Bochor. La Grande Casse.

Avant le décret d'ril 2015, le parc (« zone centrale » et « zone périphérique ») occupait le territoire de 28 communes soyardes situées dans les vallées de la Tarentaise et de la Maurienne .

Les communes du PNV au moment de sa création et population en 2023 Communes Vallée Superficie(en km2) Pop.(2023) Les Allues 85,99 1750 Aussois 41,94 682 Avrieux 37,85 394 Bellentre 23,94 929 (2013) Bessans 128,08 352 Bonneval-sur-Arc 112,55 270 Bourg-Saint-Maurice 179,07 7228 Bramans 92,26 432 Champagny-en-Vanoise 84,96 545 Landry 10,62 810 Lanslebourg-Mont-Cenis 93,61 645 Lanslevillard 39,84 469 Modane 71,04 2879 Montvalezan 25,9 729 Peisey-Nancroix 70,64 633 Planay 22,41 441 Pralognan-la-Vanoise 88,57 700 Saint-André 30,84 447 Saint-Bon-Tarentaise 58,94 1910 Sainte-Foy-Tarentaise 100,15 690 Saint-Martin-de-Belleville 161,79 2618 (2016) Séez 42,15 2460 Sollières-Sardières 33,31 188 Termignon 149,03 402 Tignes 81,63 1953 Val-d'Isère 94,39 1572 Villarodin-Bourget 33,08 511 Villaroger 28,15 359 Total 2 022,73 34 901 Pour aller plus loin, consultez l'Atlas du Parc National de la Vanoise (1999), en ligne. ancienne commune Faune et flore[modifier | modifier le code] Bouquetin près du refuge de Plaisance sur le territoire de la commune de Champagny-en-Vanoise. Chamois. Jeune chamois au cirque du Rosoire. Marmotte sur la route du col de l'Iseran (côté Maurienne). Hermine près de la Grande Casse. Aigle royal sur les crêtes du mont Charvet. Gypaète barbu et en arrière-plan, le Glacier de la Masse Faune[modifier | modifier le code] Un bouquetin dans le parc national ec à l'arrière plan, le dôme de Chasseforêt en juillet 2018. Liste des principaux mammifères Bouquetin - Capra ibex : Environ 2100 individus dans le parc Campagnol des neiges – Chionomys nivalis Chamois – Rupicapra rupicapra : Environ 6000 individus dans le parc Grand rhinolophe – Rhinolophus ferrumequinum Hermine - Mustela erminea Lièvre variable – Lepus timidus Loup – Canis lupus italicus Lynx boréal – Lynx lynx Marmotte - Marmota marmota : Omniprésente Martre des pins – Martes martes Mulot à collier – Apodemus flicollis Musaraigne aquatique – Neomys fodiens Oreillard – Plecotus auritus Pipistrelle commune – Pipistrellus pipistrellus Renard roux – Vulpes vulpes Ours brun - Ursus arctos : disparu depuis les années 1930. Liste des principaux oiseaux Aigle royal - Aquila chrysaetos Cassenoix moucheté – Nucifraga caryocatactes Chocard à bec jaune – Pyrrhocorax pyrrhocorax Gypaète barbu - Gypaetus barbatus Hibou grand-duc – Bubo bubo Lagopède alpin – Lagopus mutus Niverolle alpine – Montifringilla nivalis Nyctale de Tengmalm – Aegolius funereus Perdrix bartelle – Alectoris graeca Tétras lyre – Tetrao tetrix Tichodrome échelette – Tichodroma muraria Liste des principaux reptiles et amphibiens Couleuvre d'Esculape – Elaphe longissima Coronelle lisse - Coronella austriaca Grenouille rousse – Rana temporaria Lézard vivipare – Zootoca vivipara Triton alpestre – Triturus alpestris Vipère aspic – V. aspis atra Meisner Flore[modifier | modifier le code] Liste des principaux résineux Épicéa commun – Picea abies Genévrier commun – Juniperus communis Mélèze d'Europe – Larix decidua Pin de montagnes – Pinus uncinata Pin cembro appelé localement Arolle – Pinus cembra Pin sylvestre – Pinus silvestris Sapin pectiné - Abies alba Liste des principaux feuillus, arbres, arbustes et arbrisseaux Edelweiss, appelée également Étoile des neiges. Liste des principales fleurs protégées Androsace des Alpes – Androsace alpina Bruyère herbacée – Erica herbacea Bruyère cendrée – Erica cinerea Edelweiss - Leontopodium alpinum Génépi – Artemisia Gentiane utriculeuse – Gentiana utriculosa Linnée boréale – Linnaea borealis Matthiole du Valais – Matthiola valesiaca Panicaut des Alpes – Eryngium alpinum Pulsatille de Haller – Pulsatilla halleri Sabot de Vénus – Cypripedium calceolusi Séneçon de Haller – Jacobaea uniflora Trèfle des rochers – Trifolium saxatile Liste des principales autres plantes Tourisme[modifier | modifier le code] Randonnée dans le nord du parc national. Refuge de Plaisance.

Le parc national attire de nombreux touristes amateurs d'espace sauvage et de loisirs de montagne. Des randonnées sur plusieurs jours sont possibles grâce aux possibilités d'accueil dans les refuges[22].

Le ski hors-piste est interdit dans les zones d'hivernage du Tétras-lyre afin d'éviter de le déranger[23]. En dehors des sportifs pratiquant le ski de randonnée, la vocation du cœur du parc national est plutôt liée au tourisme estival tournée vers la découverte de la nature.

En hiver, les stations liées au parc ou celles qui lui sont limitrophes offrent de nombreuses possibilités d'hébergements :

Aussois — station de ski (alpin et nordique) Bramans — ski nordique Bessans — ski nordique Bonneval-sur-Arc — ski alpin et nordique Courchevel — ski alpin Lanslebourg-Mont-Cenis et Lanslevillard — station de Val Cenis (ski alpin) Les Allues — ski alpin et nordique Les Menuires — ski alpin Peisey-Nancroix — ski alpin et nordique Pralognan-la-Vanoise — ski alpin et nordique Sainte-Foy-Tarentaise — ski alpin et nordique Saint-Martin-de-Belleville — ski alpin et nordique Sollières-Sardières — ski nordique Termignon — ski alpin et nordique Tignes — ski alpin Val-d'Isère — ski alpin et nordique Val Thorens — ski alpin Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ « La charte | Parc national de la Vanoise », sur vanoise-parcnational.fr (consulté le 20 janvier 2017) ↑ « http://www.vanoise-parcnational.fr/qui-sommes-nous/histoire-et-memoires.html »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) ↑ [PDF] Irène Girard, « Dynamique des populations et expansion géographique du bouquetin des Alpes (Caprex ibex ibex, L.) dans le Parc national de la Vanoise »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) ↑ Jean-Pierre Jost et Yan-Chim Jost, Le Bouquetin : Seigneur des cimes, Bière, Éditions Cabédita, 2006, 155 p. (ISBN 978-2-88295-457-2), p. 28 ↑ Voir fiche biographique de Marcel Couturier ↑ Fiche biographique de M. Couturier sur le site de l'AHPN ↑ a et b Fiche biographique de Gilbert André sur le site de l'AHPNE ↑ « Le projet de création d'un parc national a alimenté querelles et palabres », Le Monde, 27 déc. 1964, cité par S. Bobbé in Histoire des parcs nationaux, éd. Quae, 2009 ↑ « Denys Pradelle (1913-1999) », sur rhone-alpes.culture.gouv.fr (consulté le 20 janvier 2017) ↑ Pierre Préau, « Le parc national de la Vanoise, banc d'essai d'une politique d'aménagement de la montagne », Revue de géographie alpine, vol. 52, no 3,‎ 1964, p. 436 (lire en ligne) ↑ a et b Selmi 2006, p. 170. ↑ a b et c Liliane Bensahel-Perrin, Hugues François et Emmanuelle Marcelpoil, Les stations de sports d'hiver face au développement durable. État des lieux et perspectives, Éditions L'Harmattan, 2010, 178 p. (ISBN 978-2-296-25693-4, lire en ligne), p. 51-52. ↑ Selmi 2006, p. 177. ↑ Selmi 2006, p. 184. ↑ Selmi 2006, p. 187. ↑ Selmi 2006, p. 188. ↑ « Le parc de La Vanoise, premier né et toujours contesté », La Croix,‎ 12 juillet 2013 (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le 29 novembre 2021) ↑ « Des représentants du Parc National de la Vanoise séquestrés pendant 15 heures par des éleveurs en colère après des attaques du loup », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes (consulté le 29 novembre 2021) ↑ « La justice condamne l'abattage de six loups en Soie en 2015 », sur BFMTV (consulté le 29 novembre 2021) ↑ Par Chloë Bergouts de l'Agence Créative CulturElle Le 21 octobre 2015 à 13h34, « EN IMAGES. Parcs nationaux de France : la Vanoise, en Soie », sur leparisien.fr, 21 octobre 2015 (consulté le 29 novembre 2021) ↑ « Laurent Trésallet, président du Parc national de la Vanoise », sur Enviscope, 15 décembre 2015 (consulté le 21 janvier 2021) ↑ « La liste des refuges dans le Parc », vanoise-parcnational.fr. ↑ « Bestiaire d’une zone protégée - Ép. 4/4 - Vanoise, un parc national pour qui ? », sur France Culture (consulté le 7 août 2021) Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] René Varlet, « Le parc national de la Vanoise : histoire d'un combat pour un sanctuaire », dans Mémoires et documents de la Société soisienne d'histoire et d'archéologie, Société soisienne d'histoire et d'archéologie, coll. « L'histoire en Soie » (no 58), septembre 1980, 48 p. (ISSN 0046-7510). Adel Selmi, Administrer la nature : le Parc national de la Vanoise, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, 2006, 487 p. (ISBN 978-2-7592-0003-0, lire en ligne) Articles connexes[modifier | modifier le code] Parcs nationaux de France Massif de la Vanoise Environnement en Soie Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Parc national de la Vanoise, sur Wikimedia Commons

Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata Ressources relatives à la géographieVoir et modifier les données sur Wikidata : Common Database on Designated Areas Inventaire national du patrimoine naturel (espaces protégés) World Database on Protected Areas Ressource relative à l'architectureVoir et modifier les données sur Wikidata : Liste indicative du patrimoine mondial Ressource relative à la vie publiqueVoir et modifier les données sur Wikidata : Nominations au Journal officiel Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généralisteVoir et modifier les données sur Wikidata : Britannica Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : VIAF BnF (données) IdRef LCCN GND Israël v · mParc national de la Vanoise Villages de Tarentaise Les Allues Bellentre Bourg-Saint-Maurice Bozel Champagny-en-Vanoise Landry Montvalezan Peisey-Nancroix Planay Pralognan Saint-Bon Sainte-Foy Saint-Martin-de-Belleville Séez Tignes Val-d'Isère Villaroger Villages de Maurienne Aussois Avrieux Bessans Bonneval Bramans Lanslebourg Lanslevillard Modane Saint-André Sollières-Sardières Termignon Villarodin-Bourget v · mParcs nationaux en France Métropole Calanques Cévennes Écrins Forêts Mercantour Port-Cros Pyrénées Vanoise Outre-mer Guadeloupe Guyane La Réunion Parcs nationaux de France Esprit parc national v · mAires protégées d'Auvergne-Rhône-Alpes Parcs nationaux Écrins Vanoise Parcs naturels régionaux Aubrac Baronnies provençales Chartreuse Haut-Jura Livradois-Forez Massif des Bauges Monts d'Ardèche Pilat Vercors Volcans d'Auvergne Réserves naturelles nationales Aiguilles-Rouges La Bailletaz Bout-du-Lac d'Annecy Carleyron Chastreix-Sancy Contamines-Montjoie Delta de la Dranse Étang du Grand-Lemps Gorges de l'Ardèche Grande Sassière Grotte de Hautecourt Haut-Rhône français Haute Chaîne du Jura Haute vallée du Béranger Haute Vallée du Vénéon Hauts de Chartreuse Hauts de Villaroger Hauts plateaux du Vercors Île de la Platière Lac Luitel Marais de Lours Passy Plan de Tuéda Ramières du val de Drôme Roc de Chère Rocher de la Jaquette Article de qualité Sagnes de La Godivelle Sixt-Passy Tignes-Champagny Val d'Allier Vallée de Chaudefour Vallon de Bérard Réserves naturelles régionales Cheires et grottes de Volvic Étang de Haute-Jarrie Étang de Saint-Bonnet Étangs de Mépieu Galerie du Pont-des-Pierres Gorges de la Loire Grads de Nes Grotte des Sadoux Isles du Drac Jasseries de Colleigne Lac d'Aiguebelette Lac de Malaguet Mine du Verdy Puy de Marmant Récif fossile de Marchon - Christian Gourrat Tourbière des Saisies - Beaufortain - Val d'Arly Tourbières du Jolan et de la Gazelle Val de Loire Bourbonnais Réserves biologiques dirigées Combe d'Ire Dent du Villard Haut-Chéran Malissard Merdassiers et Nant Pareux Montagne des Frêtes Petit mont Blanc Réserves biologiques intégrales Aulp du Seuil Combe de l'If Combe d'Ire Haut-Chéran Malissard Merdassiers Nant Pareux Réserve de chasse etde faune sauvage Bauges Réserve naturelle intégrale Lauvitel Réserve de vie sauvage Vercors Arrêté préfectoral deprotection de biotope Col de l'Iseran icône décorative Portail des Alpes icône décorative Portail du tourisme icône décorative Portail de la conservation de la nature icône décorative Portail de la Soie

版权声明:本文内容由互联网用户自发贡献,该文观点仅代表作者本人。本站仅提供信息存储空间服务,不拥有所有权,不承担相关法律责任。如发现本站有涉嫌抄袭侵权/违法违规的内容, 请发送邮件至lsinopec@gmail.com举报,一经查实,本站将立刻删除。

上一篇 没有了

下一篇没有了